Professionnels de santé

Une bonne posture est la clé de toutes les activités sportives et du bien-être physique. Mens sana in corpere sano – un esprit sain dans un corps sain – est la devise d’une bonne posture.

Dans mon cabinet orthopédique je vois beaucoup de patients avec des anomalies et des faiblesses musculaires, très différentes d’une personne à l’autre. Pour ceux qui me demandent des conseils sur les exigences à respecter pour pouvoir faire de l’exercice, j’utilise avec succès le concept pédagogique GoodPosture de Patricia Girard-Boëx qui est une préparation à la bonne compréhension au corps de chacun.

Il génère un renforcement musculaire et un placement dans l’axe de la colonne vertébrale, qui sont des prérequis pour toutes les actions sportives.
Les résultats parlent d’eux-mêmes : mes patients qui ont découvert leur corps à travers cette méthode, obtiennent ainsi de meilleures performances sportives et plus de plaisir dans les activités quotidiennes.

D’autres avantages sont décisifs pour moi en recommandant GoodPosture à mes patients : une fois que vous avez pris conscience de votre corps et placé celui-ci dans l’alignement, cela réduit le risque de blessures pendant le sport et dans la vie quotidienne. Il crée des automatismes favorables des mouvements, adapte mieux le corps à ses capacités dépendant de l’âge et maintient celui-ci en forme plus longtemps au cours de la vie.

Ma recommandation est donc la suivante : le plus tôt vous commencez avec GoodPosture, le mieux sera pour votre corps. Cependant, il n’est jamais trop tard pour démarrer ce concept pédagogique.

Docteur Adelheid Gloeser

Spécialiste en Chirurgie Orthopédique et Traumatologie
Diplômée en Rhumatologie et Médecine du Sport

Les troubles musculo-squelettiques représentent un enjeu majeur de santé publique.

Très souvent, lors de nos consultations nous notons qu’ils sont accompagnés de troubles posturaux. C’est pourquoi, il est essentiel de proposer une approche gymnique et sportive enrichie de cette vision de la posture dont elle devient l’axe de travail préférentiel et le préambule aux autres pratiques.

C’est ce que Patricia a compris, observé et voulu proposer dans l’approche GoodPosture.

La tenségrité, alliance des structures solides (os) et des parties molles (muscles, tendons…) permet d’espérer cette reconquête de l’axe corporel… à vous d’œuvrer pour qu’elle soit vôtre.

GoodPosture vous y aidera.

Philippe Devillers

Ostéopathe D.O.

Adeptes de GoodPosture

Lucie

45 ans

Le diagnostic de la première leçon a tout de suite montré qu’il me serait impossible de danser sans avoir :
1) acquis un minimum de souplesse
2) renforcé le placement au niveau du dos et des abdos-fessiers

Le premier bilan après seulement 5 mois :

  • Le renforcement proposé passe par une contraction volontaire des muscles profonds, rythmée sur la respiration, dans des positions simples.
  • Côté abdos, mon placement était déjà correct, sans doute grâce à la course à pied et au yoga.
  • Côté fessier, en revanche, il m’aura fallu de nombreuses séances (et entraînements à la maison) pour prendre conscience des muscles fessiers profonds et être capable de les contracter volontairement. Une fois cette prise de conscience opérée, les progrès semblent possibles et relativement rapides. Esthétiquement, la silhouette s’en trouve déjà améliorée, même sans perte de poids ! 
  • Nous travaillons aussi la musculature profonde dorsale, sur un exercice « tout bête» redoutable et doublement efficace, pour les dorsaux comme pour les abdos !
  • Avec un entraînement régulier, accompagné par la respiration, j’ai gagné en souplesse.

Franck

46 ans

Je pratique régulièrement le tennis et occasionnellement le running, le foot, le ski et le surf. J’ai également tenté de m’initier ces dernières années au yoga et au kung-fu.

Mes attentes lorsque j’ai décidé de venir prendre des cours avec Patricia :

  1. Avoir une activité physique exigeante pour mon corps afin d’améliorer ma posture, car je me tiens vouté, affaissé, avec les épaules en avant, en tension, et les côtes sorties.
  2. La souplesse, j’en ai perçu les limites au tennis, au ski, au yoga et au kung-fu.
  3. Le renforcement musculaire, je suis tonique mais déficient dans le haut du corps.
  4. Mon but est de mieux maîtriser mon corps, de façon plus élégante, plus habité, plus en élongation pour apprendre à danser, une activité en couple avec mon épouse. Nous ne faisons pas de sport ensemble et avoir un nouveau projet commun dans lequel s’investir est des plus motivant.

C’est en observant mes filles qui pratiquent la danse classique avec Patricia, en écoutant leurs échanges et après nos nombreuses discussions que j’ai été convaincu de l’enseignement et de la pédagogie de Patricia . Sa méthode allait me convenir et me correspondre  :

  • l’exigence
  • le travail aigu sur le ressenti
  • son sens de l’observation
  • la précision du travail technique et la décomposition de la « mécanique » du corps sont autant d’approches que j’ai pu expérimentées lors de mes autres pratiques sportives, tennis, yoga et kung-fu, que j’ai appréciées.

Ces approches m’ont permis de comprendre mes limites au niveau
de la posture, de la souplesse et du renforcement musculaire.
J’ai eu l’intime conviction que l’enseignement de Patricia allait m’aider à progresser.

Le travail avec Patricia m’a également permis :

  • d’avoir une connaissance approfondie de mon corps
  • d’améliorer ma capacité à l’écouter
  • de ressentir plus finement les signaux qu’il m’envoie.

Désormais j’arrive à faire la différence entre des douleurs provenant des muscles, de l’ossature, des tendons. Aujourd’hui, je suis capable de me « soigner », de comprendre d’où provient une douleur, à quoi elle est due, et faire les étirements, le repos, les postures qui permettent de guérir plus vite.

J’ai en particulier réussi à définir mes limites. Dans quel cas elles proviennent d’un problème musculaire, d’un problème de souplesse ou d’un problème de placement. Savoir faire la part des choses permet de travailler correctement pour progresser, et de faire les exercices de la bonne façon, en faisant travailler ce qui doit l’être de façon efficace. 

Le travail sur la respiration, élément central du ressenti et du relâchement, m’apporte énormément de bien-être et d’épanouissement dans la pratique. Cela se répercute au quotidien, dans tout ce que je fais.

Mon bilan après 5 mois :

Je suis très satisfait, ravi et enthousiaste. L’apport de l’enseignement de Patricia dépasse mes attentes. Je ressens des résultats très concrets.

  • Je me tiens mieux, j’ai considérablement amélioré ma posture, je me sens plus grand. Et lorsque par la fatigue je m’affaisse, me ramollis, j’ai une sensation désagréable, je me sens mal dans mon corps et me reprends spontanément.
  • Cette posture nouvelle vient directement de l’abaissement des côtes, de la contraction des abdos profonds, de l’étirement de la colonne et du relâchement des épaules.
  • Cette posture m’apporte une sensation de bien-être, une reprise de possession de mon corps. Cela change même mon regard sur le monde et sur les autres, comme si je regardais les choses depuis un meilleur point de vue, à la fois plus élevé et plus juste.
  • Cette posture m’aide dans des sports à la fois très physiques et très techniques comme le ski et le tennis, où il faut à la fois beaucoup d’engagement, de concentration et de relâchement. En me focalisant sur ma posture et mes abdos, je parviens à retrouver du relâchement, de la souplesse, tout en restant dynamique, tonique et concentré.

Ève

15 ans

Je m’appelle Ève, j’ai 15 ans, et je suis passionnée de danse depuis mon plus jeune âge.

J’ai commencé la danse classique à 8 ans chez Patricia, et si j’étais pleine de bonne volonté et d’envie d’apprendre, je n’avais en revanche aucune aptitude corporelle naturelle correspondant au placement classique. J’avais beaucoup de défauts : manque de souplesse, de mobilité, aucun coup de pied et particulièrement en-dedans.

J’ai passé mes premières années de classique à me sentir loin derrière des camarades qui me semblaient beaucoup plus prometteuses que moi. Et bien que j’ai toujours eu, au fond, une envie brûlante de faire de la danse ma profession, j’ai tu ce rêve pendant de nombreuses années précisément parce que je ne pensais pas que mon corps ne me le permettrait.

Pensant donner le meilleur de moi-même, j’ai pris l’habitude de travailler en force. J’ai ainsi noué tout mon corps au lieu de lui apporter de la mobilité, élément essentiel. Un exemple flagrant, au lieu d’améliorer mon levé de jambe, je n’ai fait qu’empirer les choses car mes muscles se sont encore plus raidis.

À 12 ans j’ai bénéficié de classes à horaires aménagés au collège pour suivre des cours individuels avec Patricia qui m’a initié au travail en profondeur afin de le mettre en application dans les cours collectifs.

Elle m’a appris à mieux utiliser mon énergie, à la canaliser pour la mettre au service d’une transformation de ma musculature inférieure. Et, alors que je comptais arrêter tôt le classique pour ensuite utiliser ses bases en jazz et en contemporain, j’ai finalement tellement accroché à son enseignement que je n’ai jamais arrêté.

Pendant ces cours nous avons retravaillé tout le placement de la barre classique avec un objectif principal : renforcer les muscles qui doivent être engagés en permanence (transverse, fessiers) et libérer ceux que j’avais raidi par trop de tension (adducteurs, quadriceps, psoas, cheville et coup de pied) pour trouver mobilité, détente, et souplesse.

Ce fut très difficile au début car je n’arrivais pas à lâcher prise, mais peu à peu j’ai compris en me servant de la respiration, comment libérer mes jambes, les décontracter pour mieux les allonger afin de les assouplir. C’est comme ça que j’ai appris à utiliser le souffle pour rythmer tous mes mouvements.

Pour l’en-dehors la difficulté principale était de ressentir réellement la position du bassin, des hanches, du dos et des cuisses. Il fallait tout dissocier et réveiller des muscles que je n’utilisais pas auparavant. C’était frustrant au début car je devais retravailler les bases, principalement au sol. Mais ce travail fut incroyablement efficace car en plus de m’apporter souplesse et en-dehors, il m’a appris à connaître mon corps et ses limites, à me l’approprier et à l’accepter.

La pédagogie de Patricia implique en effet un travail tant physique que mental. J’ai compris que tout le placement et la technique en danse classique sont dictés par l’intention que l’on donne au mouvement et à la représentation mentale que l’on s’en fait. Il faut d’abord penser le pas avant de l’exécuter. Pour cela on doit donc le comprendre : quels sont les muscles impliqués, quelle est l’intention du mouvement et surtout quel ressenti on doit avoir.

Pendant les deux ans de classes à horaires aménagés j’ai senti une réelle métamorphose s’opérer. J’ai énormément gagné en souplesse et en en-dehors, et j’ai réussi à encrer définitivement ces informations dans mon corps de sorte qu’aujourd’hui elles me semblent naturelles. Grâce à cela toute ma technique classique a progressé : tours, levers de jambe, sauts, tout est plus léger et plus facile. À cette époque j’ai aussi pris confiance en moi et en mon corps, car j’ai appris à être maîtresse de mes mouvements, à habiter mon corps plutôt que me battre contre lui.

C’est pour toutes ces raisons que cet enseignement m’a élevé en tant que danseuse et en tant que jeune fille en besoin de repères face aux changements que provoquent l’adolescence.

Ce que je trouve remarquable chez Patricia c’est sa capacité à comprendre un corps comme un objet unique, qui a nécessairement besoin d’exercices et de corrections sur-mesure pour progresser. Elle se met à la place de son élève, l’écoute, et conçoit pour lui des exercices adaptés qui le pousse dans ses retranchements sans dépasser les limites de son corps.

 

Après avoir passé un baccalauréat scientifique, je suis aujourd’hui, à l’âge de 17 ans, en formation professionnelle de danse moderne et contemporaine à hauteur de 30 heures par semaine. Dès que j’en ai la possibilité, je retourne voir Patricia pour approfondir le travail de renforcement et d’assouplissement. Si je n’ai plus peur de suivre ma vocation et de tenter ma chance dans le monde de la danse c’est grâce au professeur qui a vu mes lacunes et s’en est fait un défi, le professeur qui a consacré la même énergie à toutes ses élèves peu importe leur niveau, celle qui a cru en moi. C’est cette pédagogie et cet amour de la danse qui ont su entretenir ma passion tout au long de l’effort. Et pour cela je suis infiniment reconnaissante du travail de Patricia.

Nathalie

37 ans

Grâce à la méthode de Patricia, mon fils Thibault, 8 ans, a compris comment accompagner l’effort avec la respiration, il a acquis un excellent placement en parvenant à rentrer ses côtes de manière consciente, ce qui est très compliqué et très rarement compris à cet âge. Son travail sur le dos est absolument remarquable, au sens propre du terme, dans la mesure où il est visible non seulement dans son travail à la barre mais également dans sa posture quotidienne. Quel que soit le mouvement imprimé à son corps et l’activité à laquelle il se consacre, ce corps est parfaitement placé. Cet alignement est présent lorsqu’il travaille, lorsqu’il mange, lorsqu’il marche. La particularité de cet alignement est qu’il est absolument dépourvu de tensions et de rigidité, c’est un alignement naturel, qui n’implique aucun effort, et qui laisse la place à une grande fluidité.
Il a aussi acquis beaucoup de force à la faveur des exercices de renforcement et de gainage, ce qui est un atout considérable dans les exercices d’équilibre et de précision : cette force permet un ancrage dans le sol.

Ces apprentissages structurés et approfondis menés de manière précoce permettent une propreté du travail et une solidité des bases. Ils constituent une réelle plus-value.

« Quand je sors de mon autre cours de danse (dans un autre établissement), je suis fatigué extérieurement. Quand je sors du cours de Patricia, je suis fatigué intérieurement » me rapporte t-il.

Ailleurs il compose (des variations, des enchaînements d’exercices techniques), ici il décompose, il comprend le mouvement, il le fait sien pour mieux le recomposer ensuite, pour lui donner corps.

Patricia a fourni à mon fils une panoplie d’images mentales dans lesquelles il puise l’intelligence du geste et qui lui permettent de savoir exactement quel mécanisme enclencher et pour quel résultat. C’est une aide extrêmement précieuse pour tout enfant qui commence une activité physique. La compréhension dans l’apprentissage est un point essentiel.

Merci infiniment pour cet accompagnement si précieux…

Juliette

10 ans

Passionnée de danse classique, j’ai commencé à prendre des cours dès l’âge de 5 ans et je souhaite pouvoir un jour, en faire mon métier.

J’ai rencontré Patricia, invitée par un camarade à suivre un cours en sa compagnie, puis j’ai commencé à prendre des cours régulièrement avec elle.

Ce professeur m’enseigne avant toute chose le placement de mon corps, l’en-dehors, la souplesse et le renforcement musculaire. Les progrès qu’elle m’a permis d’accomplir sont spectaculaires. J’ai accédé à une technique que j’ignorais totalement ; j’ai appris à connaître mon corps et à l’écouter.

Dans mon école de danse, on me demande d’exécuter des exercices sans beaucoup d’explications  : on me les montre une fois et je dois les reproduire immédiatement comme chacun de mes camarades, sans les comprendre.

Après avoir travaillé avec Patricia un long moment sur le placement de mon corps, le ressenti et la mobilité de celui-ci, je commence à aborder la mise en pratique sur divers exercices. Je décompose les mouvements, lentement, Patricia me corrige, et m’explique, afin que chaque partie de mon corps reste mobile et correctement positionnée. Ainsi je me rends compte que les positions que je prenais dans mon école étaient bien souvent incorrectes.

Je vais vous donner un exemple : on nous demande à chaque cours de faire la grenouille (allongée sur le ventre, jambes repliées en ouverture). Systématiquement, je la faisais avec le dos cambré comme tous mes camarades. Patricia m’a expliqué qu’il était important de ne pas creuser le dos, au contraire de le tenir bien droit en m’aidant de mes abdominaux, qui à la suite d’un travail en profondeur sont bels et bien là à présent.

Ces explications ne me permettent pas seulement d’exécuter avec justesse un exercice, elles m’apprennent à respecter mon corps. Ce dernier est pris en compte à long terme. Patricia ne veut pas que je me blesse plus tard, ou que mon corps s’abîme.

Hélène

35 ans

Je tenais à remercier Patricia pour ce travail remarquable ! Vous avez transformé notre petite My Linh qui a hérité de son père d’une petite déformation du pied, on y voit plus rien ! Elle est souple et gracieuse grâce à vos conseils et encouragements.

Mina

17 ans

Élève chez Patricia depuis mes 11 ans, j’y ai fait mes débuts et cela fait maintenant près de neuf années consécutives que je pratique la danse classique. Ayant commencé relativement tard, je n’ai jamais envisagé d’en faire ma carrière. Néanmoins, cela ne m’a pas empêché de développer une réelle passion pour la danse. Passion qui malgré tout, ne suffit pas, à elle seule, à effacer mes nombreuses lacunes. Aujourd’hui, je peux  affirmer avec certitude que la méthode de Patricia m’a permis de m’améliorer, de corriger la plupart de mes problématiques et mauvaises habitudes !

Tout d’abord, il me semble indispensable de préciser que j’ai commencé la danse classique en tant qu’enfant particulièrement introvertie et angoissée. Aujourd’hui, GoodPosture me permet petit à petit de corriger ce manque cruel de confiance en moi. En effet, cette pratique m’a permis à travers un travail de respiration approfondi d’apprendre à sortir de ma bulle, de réellement entrer dans l’instant T, m’autorisant à complètement me détendre. De plus, celle-ci m’a appris à travailler par rapport à mon corps et seulement mon corps, à réellement me comprendre, me permettant de ne faire qu’un entre mon corps et mon esprit.

Toutefois, mes lacunes ne se limitaient malheureusement pas qu’à mon mental. 

En effet, ma posture plus précisément ma cambrure ne jouait pas en ma faveur. Bien trop prononcée, elle gâchait mon positionnement et donc la plupart de mes mouvements. Malgré le fait qu’on me corrigeait oralement constamment sur ma cambrure je n’ai jamais vraiment compris ce qu’on attendait de moi. Ce n’est que depuis le travail au sol proposé par Patricia que j’arrive à comprendre quelles positions sont adéquates. En effet, en plus des explications orales je peux maintenant sentir comment je dois me placer. Notamment grâce au travail abdominal fondamental en danse classique mais dont les explications orales ne me suffisaient pas. Dû à une mauvaise compréhension des instructions, je prenais de la force dans mes épaules lorsqu’il m’était demandé de serrer les abdominaux ce qui finit par endommager ma posture. C’est pourquoi, j’avais besoin des exercices aux sol proposés par Patricia pour réellement ressentir la bonne position. Ainsi, c’est maintenant presque instinctivement que je place mes abdominaux de la bonne manière. 

Pour conclure, depuis 2 ans, cette pratique a déjà porté ses fruits avec une nette amélioration de mes lacunes et difficultés (physiques et mentales) et je suis impatiente de voir comment les choses évolueront encore dans le futur !